Les 32 plus grandes phrases d’Arnold Schwarzenegger

Bodybuilder, acteur, homme politique : le poids lourd pluridisciplinaire Arnold Schwarzenegger a montré ses muscles sur toutes sortes de scènes. Il a été sacré sept fois M. Olympia, a été le 38e gouverneur de Californie et, bien sûr, a été et est toujours l’une des plus grandes stars de cinéma au monde.

Pour la plupart des personnes travaillant à Hollywood, avoir un accent autrichien très prononcé aurait été un frein à leur carrière. Mais pas pour Arnold Schwarzenegger. Son élocution unique ne lui confère pas seulement un caractère distinct, elle garantit que presque tout ce qu’il dit peut avoir un large éventail de tonalités. Il peut être extrêmement sérieux, il peut être hilarant et, le plus souvent, il peut être les deux à la fois.

« Arnie possède à lui seul quelques-unes des meilleures répliques de l’histoire du cinéma, dont certaines ont certainement déjà été prononcées dans la vie de tous les jours. Voici 32 des plus grandes phrases d’Arnold Schwarzenegger au cinéma.

32. « Restez dans les parages » (Predator)

Arnold Schwrazenegger portant des peintures de guerre dans Predator

(Crédit photo : 20th Century Studios)

S’il y a une caractéristique qui définit les meilleures citations d’Arnold Schwarzenegger au cinéma, c’est le fait qu’elles sont presque toutes de mauvais jeux de mots. Dans Predator, Arnold Schwarzenegger incarne le major Alan Schaefer, alias « Dutch », qui dirige une équipe d’élite dans les jungles d’Amérique du Sud où elle rencontre un chasseur d’extraterrestres. Au cours d’une fusillade, Dutch tue un soldat de la guérilla en l’accrochant à un arbre à l’aide d’un couteau de combat géant, qu’il lance comme une fléchette. Schwarzenegger conclut ce moment par un simple « Restez dans le coin ». Ce serait tellement ringard si Schwarzenegger n’était pas aussi cool.

31. « Permettez-moi de briser la glace » (Batman &amp ; Robin)

Arnold Schwarzenegger en Mr. Freeze portant des vêtements de prison dans Batman & Robin

(Crédit photo : Warner Bros.)

Batman & ; Robin a été un tel désastre qu’il a pratiquement tué la franchise Batman jusqu’à l’arrivée de Christopher Nolan. Mais le film, du réalisateur Joel Schumacher, est bourré de charme campagnard, avec notamment un Arnold Schwarzenegger caricatural dans le rôle du savant fou M. Freeze. Bien que Mr. Freeze soit ostensiblement un génie, le scénario en fait tout sauf un génie, Schwarzenegger prononçant des jeux de mots douloureusement délicieux sur le thème du froid. Une de ses répliques les plus méconnues vient juste avant que Schwarzenegger, dans le rôle de Freeze, assomme deux gardes de l’asile d’Arkham pour s’évader sans succès.

30. « Vous êtes viré » (True Lies)

Arnold Schwarzenegger et Jamie Lee Curtis s'embrassent sous le soleil dans True Lies.

(Crédit photo : 20th Century Studios)

Avant qu’une certaine star de la télé-réalité devenue présidente ne fasse de « Vous êtes viré » sa phrase fétiche, Arnie la possédait dans le classique de la comédie d’action True Lies de James Cameron. L’histoire d’un père de famille dont la vie familiale se mêle dangereusement à son travail secret au sein d’une agence d’espionnage, le point culminant du film voit Schwarznegger assis dans le cockpit d’un avion de la marine. Lorsque le principal méchant du film, un terroriste nommé Aziz (Art Malik), est accroché à l’un des missiles du jet, Schwarzenegger tire son missile sur un hélicoptère ennemi, mais pas avant d’avoir prononcé cette réplique.

29 « Vous devriez vous cloner pour pouvoir aller… » (The 6th Day)

Arnold Schwarzenegger en blouson de cuir dans le film Le 6e jour

(Crédit photo : Sony)

Profane et intelligent ! Dans cette bombe de science-fiction de 2000, Arnold Schwarzenegger incarne un père de famille, Adam Gibson, qui est cloné par accident dans le cadre d’une conspiration d’entreprise. Vers la fin du film, Adam affronte le méchant PDG du film, Michael (Tony Goldwyn), qui suggère à Michael de se cloner à son tour. Bien que Michael pense qu’Adam essaie d’être poétique sur ce que cela signifie de vivre une vie artificielle, Adam veut en fait dire quelque chose de plus vulgaire et de plus mordant.

28) « On se voit à la fête, Richter » (Total Recall)

Arnold Schwarzenegger est étranglé dans un ascenseur dans Total Recall

(Crédit photo : Sony)

Avec le réalisateur Paul Verhoeven, Arnold Schwarzenegger a donné le coup d’envoi des années 90 avec ce classique de la science-fiction sur la lutte des classes et les faux souvenirs, le tout dans un futur lointain où Mars est le nouveau monde de l’humanité. Cette réplique classique est lancée plus tôt dans le film lorsque le méchant homme de main du film, Richter (Michael Ironside) dit sarcastiquement à Quaid (Schwarzenegger) qu’ils se verront plus tard lors d’une fête somptueuse. Plus tard, lorsque Quaid jette Richter hors d’un ascenseur, Quaid répond : « On se voit à la fête, Richter ! Dans son entrée sur Urban Dictionary, le site décrit la réplique comme quelque chose qui « peut être crié au hasard sans raison ou si vous venez de battre quelqu’un dans un concours ».

27 « Tu te souviens quand j’ai dit que je promettais de te tuer en dernier ? J’ai menti » (Commando)

Arnold Schwarzenegger menace un homme de main dans Commando

(Crédit image : 20th Century Studios)

Commando, sorti en 1985, est un film d’action de premier choix avec Schwarzenegger dans le rôle d’un ancien colonel des forces spéciales de l’armée américaine, dont le nom est l’incroyable « John Matrix », qui combat des mercenaires pour sauver sa fille (jouée par une jeune Alyssa Milano). Au milieu du film, John rencontre un sous-fifre nommé Sully. John affirme sarcastiquement qu’il aime Sully, au moins assez pour le tuer en dernier. Peu de temps après, John retient Sully par la cheville au-dessus d’une falaise abrupte, lui rappelant sa promesse, avant de révéler qu’il n’est pas à prendre au mot.

26 « Je l’ai laissé partir » (Commando)

Arnold Schwarzenegger conduit une voiture dans Commando

(Crédit photo : 20th Century Studios)

C’est à Arnie qu’il revient de faire suivre une réplique classique d’une autre. Après avoir tué Sully en le faisant tomber d’une falaise, John retrouve Cindy (Rae Dawn Chong), une hôtesse de l’air qui l’aide à sauver sa fille. Lorsque Cindy lui demande ce qu’il est advenu de Sully, John répond sans ambages : « Je l’ai laissé partir », avant de les emmener tous les deux dans la décapotable jaune de Sully.

En prime, lorsque Cindy lui fait remarquer que leur propre voiture est accidentée et lui dit « Alors maintenant, vous n’avez plus de voiture », John regarde calmement la voiture de Sully et dit « Maintenant, j’en ai une ».

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25) « Il faut toujours préparer les tuyaux pour l’hiver » (Batman & Robin)

Arnold Schwarzenegger, en tant que Mr. Freeze, gèle des tuyaux pour les faire exploser dans Batman et Robin.

(Crédit photo : Warner Bros.)

Il est vraiment difficile de ne retenir que quelques-uns des incroyables (et incroyablement mauvais) jeux de mots d’Arnie dans cette suite mal accueillie de Batman. Celui-ci est prononcé lorsque Freeze, Poison Ivy (Uma Thurman) et son homme de main Bane (le lutteur professionnel Robert Swenson) s’échappent de l’asile d’Arkham. En gelant les tuyaux pour qu’ils explosent, ils s’enfuient facilement. Ce film est mémorable non seulement parce qu’il fait rire les yeux, mais aussi parce qu’il rappelle aux propriétaires de maison qu’il est important d’entretenir leur maison. Pensez à entretenir vos canalisations pour l’hiver, sinon vous risquez de vous retrouver dans le froid !

24) « Ce n’est pas une tumeur » (Kindergarten Cop)

Arnold Schwarzenegger enseigne à une classe de maternelle dans Kindergarten Cop.

(Crédit photo : Universal)

Après avoir régné sur le cinéma d’action pour adultes tout au long des années 80, Arnold Schwarzenegger a commencé à étendre son image hollywoodienne à des films familiaux. En 1990, Schwarzenegger a joué dans la comédie Kindergarten Cop d’Ivan Reitman, dans le rôle de John Kimble, un détective de la police de Los Angeles qui travaille sous couverture en tant qu’enseignant remplaçant dans un jardin d’enfants pour éliminer un parent trafiquant de drogue. Au début de son travail, Kimble dit à ses élèves qu’il a mal à la tête. Lorsqu’un petit malin lui dit qu’il pourrait avoir une tumeur, Schwarzenegger s’écrie : « Ce n’est pas une tumeur ! ». En raison de l’accent autrichien de Schwarzenegger, son « too-mah » est devenu l’un des plus anciens mèmes Internet.

23. « Vous êtes un enfant de chœur comparé à moi » (La fin des temps)

Arnold Schwarzenegger donne un coup de poing dans un miroir dans La fin des temps.

(Crédit photo : Universal)

Arnold Schwarzenegger est-il assez méchant pour affronter le diable en personne ? Dans le film d’action et d’horreur La fin des temps, sorti en 1999, Schwarzenegger incarne Jericho Cane, un ancien inspecteur de la police de New York qui protège une femme innocente (Robin Tunney) choisie pour concevoir l’enfant de Satan. (Le film a failli mettre en vedette Tom Cruise et Liv Tyler, ce qui aurait certainement donné un film bien différent). Vers la fin du film, Satan vient voir Jéricho et lui propose de ressusciter sa femme et sa fille décédées en échange de la femme. Jéricho résiste et insulte le Diable en lui disant qu’il n’est qu’un « enfant de chœur » pour lui. Quelle froideur dans les propos tenus à l’égard de l’infernal !

22) « Il ne faut pas boire et cuisiner » (Raw Deal)

Arnold Schwarzenegger se tient dans une cuisine détruite par un gâteau dans Raw Deal.

(Crédit photo : De Laurentiis Entertainment Group)

Après le succès de Conan le Barbare, Arnold Schwarzenegger commence à gagner en popularité à Hollywood. En 1986, il joue dans le drame d’action Raw Deal, où il incarne Mark Kaminski, un shérif d’une petite ville chargé par le FBI d’infiltrer la mafia italienne. Au début du film, Mark rentre chez lui et retrouve sa femme alcoolique (Kathryn Harrold), qui regrette la médiocrité de leur vie. Elle prépare un gâteau décoré de blasphèmes et le lance au visage de Mark. Après avoir esquivé, Mark lui dit presque stoïquement : « Vous ne devriez pas boire et faire de la pâtisserie ».

21) « Des pare-chocs en caoutchouc pour les poussettes » (Last Action Hero)

Arnold Schwarzenegger se tient sous la pluie dans Last Action Hero

(Crédit photo : Columbia)

Cette réplique bizarre, qui est un véritable charabia mais qui est prononcée de manière experte, est tirée de la comédie d’action Last Action Hero, qui tourne affectueusement en dérision le genre de film d’action que Schwarzenegger a lui-même rendu célèbre. Lorsque le personnage de Schwarzenegger, Jack Slater, issu de la franchise cinématographique Jack Slater, est transporté dans le monde réel et accompagne un adolescent super fan, Danny (Austin O’Brien), il dit à un chauffeur de taxi : « Vous avez vu ces films où l’on dit « Faites-moi plaisir » ou « Je suis votre pire cauchemar » ? Eh bien, écoutez celui-ci : des pare-chocs en caoutchouc pour les poussettes !

Il taquine ensuite Danny : « Vous ne saviez pas que j’allais dire ça, n’est-ce pas ? »

20) « Voici Subzero ! Maintenant, zéro tout court ! » (The Running Man)

Arnold Schwarzenegger hurle dans un justaucorps jaune dans The Running Man

(Crédit photo : Tri-Star Pictures)

Dans ce film de science-fiction dystopique du réalisateur Paul Michael Glaser, Schwarzenegger incarne le capitaine de police Ben Richards, qui est contraint de participer à un jeu télévisé futuriste dans lequel des criminels tentent de sauver leur peau contre des mercenaires pour gagner leur liberté et des vacances payées. Après avoir vaincu le tueur de hockey sur glace « Subzero » (interprété par feu le professeur Tanaka), Ben s’enorgueillit : « Voici Subzero ! Maintenant, zéro tout court ! ». Bien que ce film soit en fait rempli de répliques encore plus classiques faisant référence à ses assaillants, sa victoire sur Subzero remporte la palme.

19. « Laissez-vous aller, Bennett » (Commando)

Arnold Schwarzenegger est torse nu à la fin de Commando.

(Crédit photo : 20th Century Studios)

Arnold Schwarzenegger adore tuer des méchants et faire des jeux de mots. Dans Commando, John Matrix affronte un ancien frère soldat, Bennett (Vernon Wells), qui s’est allié au grand méchant du film. Lors de leur combat dans un complexe industriel, Bennett menace de tirer sur John « entre les deux couilles ». Réfléchissant rapidement, John arrache un tuyau géant et le lance comme un javelot dans le ventre de Bennett. Alors que de la vapeur s’échappe du tuyau et de Bennett, John prononce cette citation qui fait mouche.

18) « Cocainum ! » (Red Heat)

Arnold Schwarzenegger habillé en flic russe tenant une prothèse de jambe dans Red Heat

(Crédit image : Tri-Star Pictures)

Dans ce classique du copinage de 1988, réalisé par Walter Hill, Arnold Schwarzenegger incarne un policier russe qui fait équipe avec un policier de Chicago (Jim Belushi) pour attraper un caïd de la cocaïne. Après avoir retiré la prothèse de jambe d’un sous-fifre criminel, Scharzenegger – regardant directement dans les yeux d’un baron de la drogue (Ed O’Ross) – verse un paquet de cocaïne et prononce « Cocainum ! » avec des yeux inébranlables. Cette phrase, qui a à peine un sens, est une autre réplique qui a fait l’objet d’un mème et qui a obsédé Internet, créant une multitude de GIFs, de mashups et de montages vidéo.

17) « Considérez cela comme un divorce » (Total Recall)

Arnold Scharzenegger se tient au-dessus de son ex-femme dans Total Recall

(Crédit photo : Tri-Star Pictures)

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Dans Total Recall, le personnage d’Arnie, Douglas Quaid, commence le film en vivant une fausse vie créée pour lui par l' »Agence », supervisée par le principal antagoniste du film, Cohaagen (Ronny Cox). Après avoir appris que sa « femme » Lori (Sharon Stone) n’est qu’un agent chargé de le surveiller et d’empêcher Lori de tuer sa vraie femme Melina (Rachel Ticotin), Quaid pointe une arme sur Lori. Lorsque Lori lui rappelle qu’ils sont mariés, Quaid lui tire une balle dans la tête et prononce cette citation, leur évitant ainsi de signer les papiers du divorce.

16) « Je n’ai rien fait, le trottoir était son ennemi » (Twins)

Arnold Schwarzenegger s'occupe d'un homme blessé dans Twins

(Crédit image : Universal)

L’un des plus grands paris de Schwarzenegger, qui s’est avéré payant, a été de jouer dans la comédie Twins, réalisée par Ivan Reitman, dans laquelle Arnie joue le rôle de Julius, le frère jumeau au physique parfait de Vincent, un criminel à deux balles interprété par Danny DeVito. À un moment donné, Julius est la cible d’une tentative de vol par un voleur à moto. Lorsque le voleur est éjecté de son vélo (ignorant la force d’Arnie), il atterrit sur le trottoir et subit une légère commotion cérébrale. Lorsque le partenaire du voleur crie après Julius, ce dernier insiste naïvement sur le fait qu’il n’a rien fait – c’est la gravité qui l’a fait.

15) « Je ne fais pas de politique, je fais de la survie » (The Running Man)

Arnold Schwarzenegger se tient debout dans un justaucorps jaune et vert dans The Running Man

(Crédit photo : Tri-Star Pictures)

Une autre phrase classique de The Running Man, moins drôle qu’elle ne l’est pour le personnage d’Arnold Schwarzenegger, Ben Richards, qui est forcé de participer à un jeu télévisé dangereux contre son gré. La citation devient profonde par ce qui est dit après elle. Après que Ben l’a dite à des camarades révolutionnaires, ceux-ci lui répondent : « De nos jours, c’est la même chose ». Pour tous ceux qui pensent qu’être apolitique est l’option la plus sûre pour vivre sa vie, réfléchissez bien.

14) « Je mange des bérets verts au petit-déjeuner et j’ai très faim en ce moment » (Commando)

Arnold Schwarzenegger se tient dans une chambre d'hôtel dans Commando

(Crédit photo : 20th Century Studios)

Deux ans avant que Roddy Piper ne prononce sa phrase classique dans le film d’action et d’horreur de John Carpenter (« Je suis venu ici pour mâcher du chewing-gum et botter des fesses, et je n’ai plus de chewing-gum »), Schwarzenegger a eu sa propre version dans Commando. Avant un combat en tête-à-tête avec l’imposant Cooke (Bill Duke), ce dernier intimide Schwarzenegger en lui rappelant qu’il est un béret vert. Schwarzenegger l’ignore et lui dit qu’il commence sa journée en tuant des Bérets verts.

13. « Vous venez d’être effacé » (Effaceur)

Arnold Schwarzenegger se tient sur une voie ferrée et tient un téléphone dans Eraser.

(Crédit photo : Warner Bros.)

Simple, mais élégant. Dans le thriller d’action politique Eraser (1996), Arnold Schwarzenegger incarne John Kruger, un U.S. Marshall pour la WITSEC qui a la tâche unique d' »effacer » des témoins importants, ce qui implique généralement de simuler leur mort et de leur donner de nouvelles identités de couverture. Mais vers la fin du film, John Kruger se venge de son ancien mentor (joué par James Caan) en organisant une « fausse » mort, pour de vrai, en laissant sa limousine sur les rails d’une voie ferrée avec un train qui arrive. Schwarzenegger prononce cette phrase directe mais magnifique au téléphone, lorsque le personnage de Caan se rend compte de ce qui l’attend.

12) « Je crains que mon état ne m’ait rendu froid à vos appels à la pitié. »(Batman &amp ; Robin)

Arnold Schwarzenegger, en tant que Mr. Freeze, dans Batman et Robin

(Crédit photo : Warner Bros.)

Si Batman & Robin a une réplique qui est vraiment cool (vous comprenez ?), c’est bien celle-ci. Alors que le Mr. Freeze d’Arnie est bien trop obsédé par les jeux de mots sur les températures froides, l’un d’entre eux est en fait assez effrayant lorsque Mr. Freeze rappelle au public à quel point il a le sang froid. Lorsqu’un policier de Gotham City supplie qu’on l’épargne, Freeze le tue quand même (avec son rayon glacial surdimensionné) et prononce cette citation. Prononcée avec l’accent épais de Schwarzenegger, cette phrase serait en fait très froide si elle n’avait pas été prononcée dans Batman &amp ; Robin.

11. « It’s Turbo Time ! » (Jingle All the Way)

Arnold Schwarzenegger dans le costume de Turbo-Man dans Jingle All the Way

(Crédit photo : 20th Century Studios)

À l’apogée du phénomène Mighty Morphin Power Rangers, le film comique Jingle All the Way (1996) a fait l’apologie de la mission de tous les parents défiant la mort pour obtenir les jouets les plus populaires pour Noël. Lorsque le personnage d’Arnold Schwarzenegger, un père de famille nommé Howard, finit par revêtir le costume incroyablement high-tech de Turbo-Man, il récite la phrase fétiche de Turbo-Man : « It’s Turbo Time ! » (C’est l’heure de Turbo !). Il y a fort à parier que les scénaristes ont souffert d’un trop grand nombre d’épisodes de Power Rangers et que la phrase « It’s Morphin’ Time ! » s’est imprimée dans leur cerveau. (Attendez, est-ce que cela fait d’Arnold Schwarzenegger un Power Ranger ?)

10) « Dillon, fils de… » (Predator)

Arnold Schwarzenegger et Carl Weathers dans la poignée de main la plus virile de l'histoire du cinéma dans Predator.

(Crédit photo : 20th Century Studios)

C’est la poignée de main la plus virile de l’histoire du cinéma. Dans Predator, le Dutch d’Arnold Schwarzenegger retrouve un vieux copain de l’armée, un agent de la CIA nommé Al Dillon (Carl Weathers). Après s’être salués dans un bar d’Amérique du Sud, Schwarzenegger hurle un bonjour profane mais affectueux avant que les deux hommes ne s’affrontent dans un bras de fer impromptu. Les biceps saillants, le claquement cuivré du contact paume contre paume, l’atmosphère moite d’un bar exotique – tout dans cette scène ne fait qu’ajouter à la puissance de cette citation cinématographique éternelle.

9) « Ne dérangez pas mon ami, il est mort de fatigue » (Commando)

Arnold Schwarzenegger assis dans un avion dans Commando

(Crédit photo : 20th Century Studios)

Lorsque John Matrix, incarné par Arnold Schwarzenegger, se retrouve coincé avec un ennemi sur un vol commercial, il s’empresse de le tuer sur-le-champ, sans que personne d’autre ne s’en aperçoive. Après l’avoir recouvert d’une couverture bleue et d’un chapeau, John demande à l’hôtesse de l’air combien de temps durera le vol. Il lui demande ensuite de laisser poliment son « ami » tranquille. Il a eu une journée épouvantable et ne demande qu’à faire une bonne et longue sieste. Schwarzenegger s’éclipse alors (« J’ai le mal de l’air »), laissant les passagers seuls avec un cadavre.

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8) « Écraser ses ennemis, les voir chassés devant soi et entendre les lamentations de leurs femmes » (Conan le Barbare)

Arnold Schwarzenegger assis dans une hutte dans le film Conan le Barbare

(Crédit photo : Universal)

Conan le Barbare est le film qui a rendu Arnold Schwarzenegger célèbre, et sa réplique la plus mémorable peut vous faire ressentir la sauvagerie totale qui animait une brute guerrière nomade. Dans la version cinématographique de John Milius (1982) du personnage de Robert E. Howard, Arnie fait cette déclaration sur ce qu’il y a de mieux dans la vie. Et ce n’est pas l’amour, la famille et la sécurité. Cette citation a sans aucun doute été récitée dans les vestiaires et les casernes militaires du monde entier.

7) « Posez ce biscuit, maintenant ! » (Jingle All the Way)

Arnold Schwarzenegger utilise une cabine téléphonique dans le film Jingle All the Way

(Crédit photo : 20th Century Studios)

Tout au long de Jingle All the Way, le personnage d’Arnie, Howard, est raillé par son voisin divorcé Ted (le regretté et génial Phil Hartman), qui s’intéresse peu à peu à la femme d’Howard, Liz (Rita Wilson). Alors qu’il est parti chercher une poupée Turbo-Man, Howard appelle pour prendre des nouvelles de la maison, et se rend compte que Ted est là, en train d’aider Liz à préparer des biscuits de Noël. Après avoir dit à Howard que les biscuits de Liz sont « hors du commun », ses gémissements de plaisir incitent Howard à lui crier de poser les biscuits. En 2013, pour une raison inconnue, Schwarzenegger a récité cette réplique sur sa chaîne YouTube.

6) « Très bien, tout le monde ! Détendez-vous ! » (Batman & ; Robin)

Arnold Schwarzenegger dans le costume de Mr. Freeze dans Batman et Robin

(Crédit photo : Warner Bros.)

La meilleure et la plus belle chose à propos des nombreux jeux de mots de Mr Freeze d’Arnie dans Batman & Robin est que vous pouvez les utiliser à peu près n’importe quand dans la vie de tous les jours. Journée chaotique au bureau ? Les enfants ont trop abusé du sucre ? Le dîner de Thanksgiving en famille devient trop intense à cause de discussions politiques enflammées ? Prenez exemple sur le Freeze d’Arnold Schwarzenegger. Dites à tout le monde de se calmer. (Il peut être utile ou non d’avoir un laser de glace géant pour faire valoir votre point de vue).

5) « Allez à l’hélico ! » (Predator)

Arnold Schwarzenegger dans la jungle dans Predator

(Crédit photo : 20th Century Studios)

Pendant une brève période au milieu des années 2000, vous ne pouviez pas faire un kilomètre sans tomber sur cette phrase emblématique de Predator. Que vous jouiez à Counter-Strike en ligne ou que la radio diffuse une chanson d’Eminem (« Just Like That »), quelqu’un, quelque part, citait cette réplique d’Arnie tirée de Predator. Citée par le Dutch de Schwarzenegger à une alliée (Elpidia Carrillo) pour la mettre à l’abri, la réplique paniquée d’Arnie la rend aussi hilarante qu’intense. Il s’agit également d’un conseil judicieux : en cas de doute, il suffit de se rendre à l’hélicoptère !

4) « Si ça saigne, on peut le tuer » (Predator)

Arnold Schwarzenegger debout dans une jungle brumeuse dans Predator

(Crédit photo : 20th Century Studios)

Certains films de Schwarzenegger sont tout simplement surchargés de citations géniales. Predator en fait partie. Dans Predator, Schwarzenegger souligne que ce n’est pas parce que l’ennemi extraterrestre est plus fort, plus rapide et mieux armé qu’il est immortel. La devise « Si ça saigne, on peut le tuer » s’applique étrangement à la vie quotidienne, qu’il s’agisse d’athlètes qui exploitent les faiblesses de leurs adversaires les plus forts ou du commun des mortels qui affronte l’araignée qui se cache quelque part dans le salon. Chaque fois que vous êtes confronté à une situation impossible, n’oubliez jamais ce qu’Arnold Schwarzenegger a dit ici.

3) « Hasta la vista, baby » (Terminator 2 : Judgment Day)

Arnold Schwarzenegger conduit une voiture dans le désert dans Terminator 2 : Judgement Day

(Crédit photo : Tri-Star Pictures)

Dans le film Terminator 2 : Judgement Day de James Cameron, le tueur cyborg de l’année 2029 est devenu l’allié du leader révolutionnaire John Connor (Edward Furlong). Lorsque John conseille au T-800 d’être moins robotique et d’avoir un peu plus d’attitude, le T-800 apprend ce bout d’espagnol massacré. Plus tard, après avoir gelé le T-1000 (Robert Patrick), plus avancé, le T-800 se souvient de ce que John lui a dit sur son disque dur. C’est une phrase parfaite, qui donne à un puissant être synthétique un aspect plus humain.

2) « Venez avec moi si vous voulez vivre » (Terminator 2 : Judgment Day)

Arnold Schwarzenegger donne un coup de main à Sarah Connor dans Terminator 2 : Le Jugement dernier.

(Crédit photo : Tri-Star Pictures)

Sans doute encore plus célèbre que « Hasta la vista, baby », cette célèbre réplique de Scwharzenegger n’a en fait pas été prononcée par lui – du moins, au début. Dans le premier film de la série Terminator, sorti en 1984, la phrase est prononcée par Michael Biehn, qui incarne le résistant Kyle Reese, envoyé dans le passé pour protéger Sarah Connor (Linda Hamilton). Mais Schwarzenegger s’approprie cette phrase dans la suite du film. Incarnant désormais le T-800 héroïque chargé de protéger les Connor, le T-800 qui cite Kyle à Sarah est une écriture brillante et efficace qui révèle qu’il est en fait le gentil maintenant.

1) « Je reviendrai » (The Terminator, et tant d’autres)

Arnold Schwarzenegger porte des lunettes de soleil foncées dans le film emblématique Terminator.

(Crédit photo : Orion Pictures)

Arnold Schwarzenegger a prononcé pour la première fois sa réplique la plus emblématique, la plus polyvalente et la plus citée de tous les temps dans Terminator, en s’adressant à un policier anonyme assis derrière un bureau. Parce qu’Arnie a prononcé cette réplique avec un tel brio la première fois, d’autres films ont demandé à la star de la répéter, encore et encore. Schwarzenegger s’est répété dans Commando, The Running Man, Kindergarten Cop, The Last Action Hero, The Expendables 2 (pour ce dernier, Bruce Willis a lancé une boutade : « You’ve been back enough ! ») et, bien sûr, dans pratiquement toutes les suites de Terminator dans lesquelles il a joué. Il n’est pas difficile de comprendre pourquoi. Un héros du grand écran comme Arnold Schwarzenegger n’arrive qu’une fois par génération. Vous feriez mieux d’espérer que lorsqu’il partira, il reviendra.

Frenk Rodriguez
Frenk Rodriguez
Bonjour, je m'appelle Frenk Rodriguez. Je suis un rédacteur expérimenté avec une forte capacité à communiquer clairement et efficacement à travers mes écrits. J'ai une connaissance approfondie de l'industrie du jeu et je me tiens au courant des dernières tendances et technologies. J'ai le souci du détail et je suis capable d'analyser et d'évaluer les jeux avec précision, et j'aborde mon travail avec objectivité et équité. J'apporte également une perspective créative et innovante à mes écrits et analyses, ce qui contribue à rendre mes guides et critiques attrayants et intéressants pour les lecteurs. Dans l'ensemble, ces qualités m'ont permis de devenir une source fiable d'informations et d'idées dans le secteur des jeux vidéo.